Né en 1945 en Algérie, dans une famille de viticulteur-arboriculteur, Michel Pobeda est élevé dans un petit village de l’Oranie.
Il abandonne ses études a la fin des événements d’Algérie et devient kinésithérapeute, profession qu’il exerce jusqu’en 1970 et où il puisa ses bases « santé ».
Rattrapé par l’envie d’entreprendre, il exerce plusieurs métiers pour trouver, en 1982, sa voie dans le négoce international des oléagineux.
Né en 1945 en Algérie, dans une famille de viticulteur-arboriculteur, Michel Pobeda est élevé dans un petit village de l’Oranie.
Il abandonne ses études a la fin des événements d’Algérie et devient kinésithérapeute, profession qu’il exerce jusqu’en 1970 et où il puisa ses bases « santé ».
Rattrapé par l’envie d’entreprendre, il exerce plusieurs métiers pour trouver, en 1982, sa voie dans le négoce international des oléagineux.
L’entreprise durera 25 années. Il voyagera sur la ceinture équatoriale, du Brésil à la Chine en passant par l’Afrique et l’Inde. Il assurera les activités d’une entreprise verticale avec la cueillette du karité dans le Sahel, l’affrètement de navires de l’Afrique de l’Ouest au Tamil Nadu, la plantation de cajou en Amazonie, les achats à Majunga et la vente aux ateliers de décorticage du Kerala ou de Guangdong.
Depuis 1992, il faisait triturer en France les oléagineux pour fournir des laboratoires en Europe et aux États-Unis. Il étudia les applications des huiles végétales en cosmétique, en savonnerie et en nutrition. Il effectua des missions en Afrique pour la Banque mondiale, l’Onudi et publia des articles sur l’agriculture, le commerce et la santé.
Il travailla avec la collaboration de son fils à la mise au point de formules innovantes en savonnerie et cosmétique pour créer des émulsions sans tensio-actifs chimiques. Leurs recherches offrent une alternative éthique aux laboratoires cosmétiques.
Officier de réserve, il est marié, père de deux enfants et neuf fois grand-père.
En 2010, il a pris une année sabbatique pour écrire le livre sur les bienfaits des huiles végétales.
En 2012, il participe à la création de l’Association des Nouveaux Savonniers, chargée de promouvoir la méthode de saponification à froid sur son site www.saponification.org
En 2014, cette association étend ses compétences à la cosmétique pour une certification de cosmétiques biologiques : la Nouvelle Cosmétique avec sa charte et son cahier des charges www.nouvellecosmetique.org
En 2019, il met en oeuvre ses principes de verticalisation de la filière cosmétique sur les jardins de Codina Vieux domaine à Vierzon dans le centre de la France avec les premiers essais concluant d’extraction de resvératrol à partir de la Renoué du Japon. La commercialisation d’une gamme complète de cosmétique dans les pharmacies du Centre est mise en place.
Parallèlement, il poursuit les recherches sur d’autres molécules pouvant être exploitées à partir de plantations au coeur du Berry.
Un conservatoire d’une quinzaine de variétés d’oliviers est créé pour étudier l’utilisation de la feuille avec une prédilection pour des variétés sauvages.
En 2020, les plantations sont complétées avec une variété de palmier nain : chamaerops humilis pour tester des molécules antibactériennes.
En 2021, des tests de grenadiers non gélifs sont lancés sur le site.
En 2022, une serre en verre de 250 m2 est construite sur le site pour la préparation des futurs plants.